#86 Florence Ollivier

La ViP de mars est Florence Ollivier.
Entretien.
 
Vous avez beaucoup voyagé – plus de 30 pays ! Oui et aujourd’hui voyage intérieur avec quelques petits sauts littéraires : l’an dernier les bords du Lac Majeur et cette année le Maroc pour mon 2ème roman.
Vous avez étudié les sciences mais vous vous êtes autorisée quelques bifurcations Oui, la biologie puis le commerce international à l’Essec. Enfin le coaching, ce qui m’a permis depuis dix ans d’étudier la nature humaine. J’ai aussi créé et animé près de 8 ans une galerie d’art à Dinard et cette expérience m’a servi pour l’écriture.
Et vous voilà romancière ! Depuis peu en effet. J’ai auto-édité un premier roman. Sarah le personnage principal est en quête de réalisation d’elle-même et elle décide d’exploiter sur le tard son talent depuis l’enfance : le dessin. Le thème du roman Destinées amoureuses n’est pas que le dessin ! En effet Sarah mariée depuis trente ans avec Paul a décidé avec lui de transformer leur couple en couple ouvert et peu à peu ils basculent dans le polyamour rencontrant tous deux des personnes dont ils vont tomber amoureux. C’est là que commence l’histoire du couple en parallèle de l’histoire de Sarah. Ce roman est le début d’une trilogie… Les thématiques seront diverses : interculturalité , cybercriminalité…

Florence fait sa « déclaration » à Dominique Julia Magdeleine, une dé-ménagère de plus de 50 ans qui habite Paris depuis toujours et adore sa ville… Mariée sans enfants, ex professeur de communication, elle a pu allier son métier d’enseignante à sa passion des livres. Son enfance solitaire lui a donné le goût des histoires : « les livres étaient ma survie ! Durant de nombreuses années, j’ai donc travaillé pour différentes maisons d‘édition et puis à mon compte en aidant les auteurs à construire leur roman ».

Florence porte son « coup de cœur » à Thierry Besnier photographe de la Rance et ancien reporter sportif au Parisien. Pendant plus de 15 ans, Thierry a photographié les hommes politiques, les sportifs et les artistes pour le compte du Parisien. Aujourd hui à la retraite il consacre l’essentiel de ses photos à la Rance. Ses reportages mettent en valeur l’actualité, mais également les paysages, la faune et la flore. Rien ne lui échappe. Ses reportages sont suivis au quotidien sur Facebook par les 24000 membres du groupe la Rance. Son coup de gueule: le dogmatisme Son truc pour rester en forme : l’écriture, la gymnastique quotidienne, les massages ayurvédiques, la vie spirituelle, les rencontres dans les clubs de lecture, les soirées réseaux et ses diners avec la ligue des optimistes à Rennes.

La bande son de Florence : Con te partiro, d’Andrea Boccelli  Orelsan : la quête We are the world, by USA for Africa